
Comme mentionné ci-dessus, plus il y a de vent, plus il faut de poids pour fixer le pied du parasol. Il peut également être utile de fixer le parasol avec des sangles, à condition de ne pas trébucher dessus. Pour des raisons de stabilité, il est préférable d’utiliser un parapluie à mât central ou un parapluie à perche. Si le vent souffle de temps en temps sur la surface du parasol, vous devez toujours vous assurer qu’il est de haute qualité, c’est-à-dire qu’il est doté d’un mât épais, de croisillons robustes, de ferrures métalliques solides et d’un tissu résistant à la déchirure. Dans ce cas, il vaut également la peine d’investir un peu plus.
Les parasols plus grands ont une valve à vent intégrée au sommet, c’est-à-dire que le courant d’air peut y passer au lieu de transformer la surface du parasol en voile.
Dans les régions plus venteuses, il est conseillé d’ancrer le parasol avec une prise de terre installée de façon permanente. Ceci, bien sûr, seulement si vous avez un endroit fixe pour votre parasol. Quoi qu’il en soit : si un orage se prépare, vous devez toujours fermer le parasol et le sécuriser avec la housse de protection si nécessaire.
Un bon tissu : la bonne housse de parasol
En règle générale, les parasols sont recouverts d’un tissu en polyester. Le coton est peut-être plus naturel, mais il a l’inconvénient de ne pas être imperméable, de se salir plus rapidement et d’être plus sensible aux moisissures. Le polyester, en revanche, est facile à entretenir, robuste et résistant à la lumière, c’est-à-dire que la couleur ne s’altère pas aussi rapidement. Les tissus d’ameublement en polyester de haute qualité ont une épaisseur de 180 g/m² ou plus.
Avantage : un parasol vous protège non seulement du soleil, mais vous pouvez aussi vous échapper sous votre toit tendu lorsqu’il commence à pleuvoir.